HEADCHARGER +NASHVILLE PUSSY- le Forum Vauréal
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HEADCHARGER +NASHVILLE PUSSY- le Forum Vauréal
Vauréal au cœur le la ville nouvelle de Cergy Pontoise, un soir glacial de février.
Bonne soirée pour le barman, la bière va couler à flots avec une affiche heavy metal.
Headcharger ouvre le bal, et comme je ne veux pas encore me fâcher avec des musiciens français ou leur manager, je demande un droit de refus de compte –rendu étant donné que j’ai eu beaucoup de mal à reconnaître leur version de Communication Breakdown tant elle était poussive, le chanteur tentant en roulant des yeux méchants pendant le show de faire oublier son manque de feeling.
La salle compte surtout des métalleux dont une bonne moitié a, depuis un moment, largement dépassé ses capacités normales d’absorption de breuvage houblonné.
Aussi, quand Nashville Pussy démarre vers 22h15, les premiers rangs s’agitent furieusement, se bousculent, se tamponnent oubliant d’écouter la musique, mais cherchant surtout à montrer qu’ils existent se roulent par terre, tentent de monter sur la scène.
Et la musique ?
Nashville Pussy ne fait pas dans la tendresse, leur carte de visite les fait passer pour la réponse US à Motorhead,en plus le groupe joue avec deux filles et je me souviens d’un live high energy sur Canal+ voici quelques années
Les filles on vieilli, elles sont devenues des américaines (trop) bien en chair, et nous avons du mal à distinguer leur visage, vu que leurs cheveux les recouvre.
Le son est une bouillie infâme, on ne distingue quasiment pas les instruments, mais seulement la rythmique qui fait tchac cha poum.
Motorhead possède un son, une puissance de feu étrangement absente chez Pussy.
On se replie prudemment avant la fin du show pour éviter les jets de bière…..
Bonne soirée pour le barman, la bière va couler à flots avec une affiche heavy metal.
Headcharger ouvre le bal, et comme je ne veux pas encore me fâcher avec des musiciens français ou leur manager, je demande un droit de refus de compte –rendu étant donné que j’ai eu beaucoup de mal à reconnaître leur version de Communication Breakdown tant elle était poussive, le chanteur tentant en roulant des yeux méchants pendant le show de faire oublier son manque de feeling.
La salle compte surtout des métalleux dont une bonne moitié a, depuis un moment, largement dépassé ses capacités normales d’absorption de breuvage houblonné.
Aussi, quand Nashville Pussy démarre vers 22h15, les premiers rangs s’agitent furieusement, se bousculent, se tamponnent oubliant d’écouter la musique, mais cherchant surtout à montrer qu’ils existent se roulent par terre, tentent de monter sur la scène.
Et la musique ?
Nashville Pussy ne fait pas dans la tendresse, leur carte de visite les fait passer pour la réponse US à Motorhead,en plus le groupe joue avec deux filles et je me souviens d’un live high energy sur Canal+ voici quelques années
Les filles on vieilli, elles sont devenues des américaines (trop) bien en chair, et nous avons du mal à distinguer leur visage, vu que leurs cheveux les recouvre.
Le son est une bouillie infâme, on ne distingue quasiment pas les instruments, mais seulement la rythmique qui fait tchac cha poum.
Motorhead possède un son, une puissance de feu étrangement absente chez Pussy.
On se replie prudemment avant la fin du show pour éviter les jets de bière…..
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